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DU 29/10 AU 09/11/2018
La Cité des arts de la rue, Marseille (13)

PARCE QUE LES MAJORETTES FINISSENT TOUTES SOUS UN TAS DE BÛCHES OU DANS UNE BÉTONNEUSE

Résidence d'écriture #1

 DISTRIBUTION

Pina Wood, artiste polymorphe
Hélios Mikhaïl, batteur
Avec la complicité de Doreen Vasseur

SORTIE DE RÉSIDENCE LE 9/11/2018

Dans le cadre du 36 du mois #1
Retours en images ICI

Dans le cadre du Compagnonnage plateau, Pina Wood était en résidence pendant 10 jours chez Générik Vapeur à la Cité des arts de la rue. Elle a présenté son travail à l’occasion du premier rendez-vous 36 du mois, le 9 novembre 2018. 

Se débattre telle une horde contre le vent. Cicatriser à vue. Tendre son arc et viser le brouillard. Frapper le coeur sur le rebord de l’évier comme la chair du poulpe. Rallumer la braise à coups de crachats. Bavard bruyant saccage. Écrire pour les bouches, les cymbales, les baguettes et les peaux tendues. S’émerveiller des débris après la dispute. Raconter comment le premier album de Diam’s est un remède au mal d’amour.

PARCE-QUE LES MAJORETTES FINISSENT TOUTES SOUS UN TAS DE BÛCHES OU DANS UNE BÉTONNEUSE est une fausse émission de radio qui explore le vacarme et la mise en scène du débat.


Image [header] © Caroline Genis

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